Ghislaine G.

Ghislaine G., c’est le nom de la marque créée par cette femme pour qui la nature est une inspiration constante, et propose des collections composées de robes, tops à bretelles, paréos et tuniques. Le coton et le lin obtiennent ses faveurs pour leur légèreté. Ces matières sont naturelles et permettent d’obtenir un rendu aérien et enveloppant. Les motifs y prennent place comme dans la nature. Les majestueuses feuilles de palmier royal côtoient les délicates feuilles de bambou ou les feuilles sauvages des fougères poisson.




Ghislaine est sensible à chacune des richesses que lui offre la nature pour en parsemer ses créations, et créé constamment. Elle est d’ailleurs en train de développer un nouveau procédé de teinture à partir de fruits et légumes du jardin, et de la plage toute proche. Curcuma, pour son jaune intense, raisin de bord de mer aux teintes violacées, kava, roucou, mahogany.

Jardinière en herbe dès l’âge de huit ans, apprentie couturière à dix, Ghislaine s’inscrit dans une longue tradition familiale qui prend naissance à travers les âges. Son grand-père l’initie, sa mère la perpétue. Ses oncles et tantes y contribuent. C’est une famille où l’artisanat et le travail des mains fait loi. Ghislaine n’échappe pas à la règle : les créations prennent forme sous ses mains et l’intérêt qu’elle y porte se fait passion. Ghislaine vit déjà plusieurs années en Angleterre quand elle révèle cette passion au grand jour en participant à l’émission Great Bristish Sewing Bee, un concours de couture télévisé diffusé en prime time sur la BBC. Elle remporte deux challenges supervisés par la très respectée Esme Young, créatrice de costumes pour le cinéma.




La nature est à la base de son art, qui suit ces courbes, reproduit ces couleurs et en transmet la vitalité. Ghislaine a ceci de particulier qu’elle tente de retranscrire ce qu’elle voit, les sensations qu’elle ressent au contact de la nature dans chacune de ses pièces : « Les vêtements que je crée sont très aériens. Je veux que la plante continue à vivre sur mes pièces de tissu. Qu’elle bouge au vent. C’est ce qui fait son charme. »