QV Tropicale

Si vous cherchez une boisson pétillante à base de fruits locaux, les QV Tropicales sont là ! Des boissons pétillantes aux saveurs de prune de cythère, ananas et maracudja préparées en plein cœur du quartier Belle- me, au François. La dénomination est imagée, en référence aux cuvées de rhum ou de vin qui sont consommées à maturité. On comprend donc bien l’idée. C’est une boisson pétillante et alcoolisée à 4.5%, avec de fortes notes de fruits locaux. Elle est obtenue à partir de jus de fruits frais pressés qui développent des arômes et de l’alcool, par fermentation. Une version non alcoolisée, obtenue grâce à un temps de fermentation moins long, existe également.




C’est une boisson 100% artisanale, fabriquée en Martinique. De la cueillette à la transformation, jusqu’à la mise en bouteille, chacune des étapes de fabrication est effectuée au pays. Les boissons issues de la QV tropicale existent en plusieurs formats : emportez-les trios de bouteilles de 33 cl partout avec vous, à la plage ou à la rivière et faîtes découvrir les QV à vos amis lors du prochain apéro avec la bouteille de 75 cl. Un pack découverte qui permet de goûter aux 3 parfums proposés et de choisir son préféré existe également ! Une idée aussi astucieuse que délicieuse, avouons-le.

L’enfance de Linda recèle des trésors. Elle y a puisé les secrets de fabrication de la QV Tropicale. À ce moment-là, elle fabrique la boisson familiale, à base de prunes de cythère, qui sont naturellement effervescentes, une fois mûres. Elle en garde des souvenirs très clairs ; « À l’époque, c’était notre soda maison ».




Ingénieur agronome de formation, Linda a travaillé plus de vingt ans dans la recherche de solutions de diversification agricole au niveau local. Les rencontres s’enchaînent et son projet d’agro-transformation se développe. Elle passe alors de sa cuisine, où elle réalise souvent des tests, à un atelier au François où elle écrit déjà l’histoire des QV Tropicales. Linda s’investit dans ce projet avec la passion qui la caractérise et y ajoute aussi beaucoup de « patience et d’humilité, car nous sommes dépendants de l’action des levures pour la fermentation, et cette étape dépend des aléas de températures intérieures et extérieures, mais aussi de la saison ».